(...) une fois entrée dans la vie des études pedagogiques ce que Jean de Barros éxecuta est vraiment prodigiéux et l'on peut ajouter qu 'il ne fut pas toujour recompensé comme il eut du l'être de ce sorte de pass temps qui ne semble avoir été pour lui qu 'une simple distraction au milieu des travaux gigantesques qu 'exigiarent les travaux sur l 'Afrique et l 'Asie, travaux qui brillent avant tout dans ses deux primieres decades dont la premiere fut livrée au public dès l 'anée (1502 ?)

Son petit traité de la Cartinha ou de la Cartilha ne lui fut pas toujours attribue comme lemaitre en l 'art d'appeler était un venerable religieux qui plus tard devint l 'éveque de Coimbra était le maitre du jeune enfant D.Phillipe, ce fut a ce prélat qu ón fit l 'honneur de l 'Invention, ( ?) ce que j 'ai oublié de dire dans l 'Article du Magazin pittoresque - On voit dans l 'interessant biographie de Séverin de Faria que la petite grammaire composée par le cèlebre historien fut écrite en realité pour une sorte de Maison (d' azile,... ?) destiné a des Orientaux ou si on l'aime mieux a des Africains à des (Por-sant ? persannes ?) et même à des hindous qu'on avait reunis à Lisbonne pour les renvoyer ensuite dans leurs pays sachant la langue de leurs nouveaux vainqueurs . Jean de Barros fut (. souvint la ..?) de sa facilité a donner aux autres les connaissaces qu 'il avait su acquis . Le fameux (...) Paul Jose qui lui avait demandé tant de renseigments, ne le cita pas une seule fois (Há mais coisas na p. 4, sobre a cartilha e sobre a gramática mas ....mais um mês.